Jacques Lalloz
Jacques Lalloz à la vitesse d’un casse. Trois étapes : Luxeuil-les-Bains (70), Paris (Langues O’, pour l’âge…), Kyoto (Institut français et université Kyōdai). Fidèle à cette dernière ville où il s’est lancé d’abord dans les mangas, puis dans la littérature, blanche et enfin noire. Bilan : des centaines de mangas et une vingtaine de titres (en attendant l’érotisme,
la SF ?) Du Japon, ne connaît pas son soleil levant car aime trop son futon. Toutefois, aujourd’hui à la campagne, travaille le matin avec devant lui les rizières et (cela va sans dire) les akatombo saisonnières et le lac Biwa qui luit au loin.
Livres : Le Requin de Shinjuku, Les Chiens de l’enfer